Galerie photo : Racailles et 187

"Racaille ? Ah, mais c'est du racîîîsme !" Les défenseurs des pauvres choux des cités vont s'énerver dans la seconde. Nous sommes fascistes, vraiment, pour oser placer ce mot-lààà ! Quand on lit ces défenseurs du pauvre et de l'opprimé, on croirait lire un catho-tradi s'énervant face aux franc-maçons. Fafs et antifas, la mentalité est la même ! Précisons-le tout de suite : par "racaille", nous n'entendons pas "pauvre immigré victime de la société" & co, mais simplement "déchet ambulant qui se balade en pyjama, marche comme un manchot avec un balai dans le cul et est incapable de prononcer deux phrases sans jurer". Une racaille peut être blanche, noire, jaune, verte à pois rouges, on s'en fout. Quelle que soit sa couleur, une racaille est toujours ce qu'elle est, c'est-à-dire un rebut de la société.

Quand on croit avoir touché le fond, on trouve toujours pire. On croit que les fafs sont les derniers des mythomanes ? Non, il y a les antifas. On croit que les antifas sont les plus débiles et prétentieux ? Non, il y a les racailles. Et après les racailles, il y a quoi ? On n'ose même pas l'imaginer.
La racaille est un être humain réduit à la partie la plus animale de son cerveau déjà mal en point. La racaille ne comprend qu'un argot étrange, est totalement incapable de se contrôler elle-même, ne respecte rien sinon l'autorité et la violence, et suit les effets de masse à la perfection. Elle porte des habits ridicules et vit exclusivement dans des histoires de bandes plus stupides les unes que les autres. C'est dur de le reconnaître, mais si un antifa est un faf à la puissance dix, la racaille est un antifa à la puissance dix. Une discussion de trois minutes avec une racaille ferait passer le dernier des mythos faf-neuski pour un nouvel Einstein. A vrai dire, avec sa mentalité aussi radicale que simpliste, la racaille est le parfait petit soldat pour obéir aux injonctions d'un leader fasciste à la Mussolini, pour peu qu'il réussisse à le séduire (ce qui, au fond, n'est pas bien compliqué). Mais ne le dites pas aux antifas, eux seuls savent ce qu'est le fascisme, c'est pour ça qu'ils sont encore plus intolérants et cons que les rares skins NS qui existent encore.

Heureusement, Politrash est là pour vous montrer le bon côté des choses. Si le faf est surtout un mythomane et l'antifa un schtroumpf à lunettes, la racaille possède quand à elle un potentiel comique inégalé. La preuve, le 187 forum, rendez-vous de tous les beaufs de cité qui admirent pêle-mêle OGKim (voir la section à son sujet pour ceux qui ne connaissent pas) et les grosses voitures. Dans les deux cas, ce sont des trucs merdiques (bagnoles = beaufs) ou faux (OGKim étant un mythomane analphabète et un ancien délinquant), qui servent à combler leur manque total de personnalité. Les racailles sont vides de l'intérieur. Sans leur rap, leur look criard, leurs potes pour les regarder et leurs (mauvais) goûts, que reste-t-il ? Rien. Une racaille n'est qu'une coquille vide.
Le faf ou l'antifa sont un peu pareil, mais restent des êtres relativement humains. Ils ne passent pas leur temps à suivre leurs pulsions ou à faire n'importe quoi. Certes, ils sont vides eux aussi, vivent dans le paraître et dans les ragots de comptoir, mais ils peuvent au moins s'exprimer à peu près correctement et survivre dans un environnement normal. La racaille en est incapable. A mi-chemin entre la poussière derrière le frigo et l'amibe protobactérienne, la racaille pense avec un cerveau pour cinq et se raccroche à des objets ou à des ragots pour exister. N'allez jamais dans une cité si vous n'y vivez pas, c'est effrayant. Heureusement, quand ces mêmes racailles sont sur des forums comme rap2k ou le 187, ils ne peuvent que dire des conneries et non aller plus loin, même s'ils sont à cinq contre un. C'est au moins un des bons côtés du Net.

Bon, assez blablaté, voici quelques photos pour le fun. Certaines viennent du 187, d'autres de divers forums ou skyblogs racaillesques du Net. "Tas de boue riders", "nique la France powers" et total losers, les voici.

Les racailles sont tolérantes, la preuve : dans leurs rangs, on accepte aussi les nains.

A défaut d'avoir une tête de gagnant comme Mickael Vendetta, on peut aussi ressembler à un chien sorti d'un réservoir. Au moins, celui-là sait choisir ses films fétiches !

Niveau balais à chiottes, on en trouve des jolis chez Carrefour !

"Ah, j'arrive pas à chier, j'en peux pluuuuuus..."

American History X a fait des émules. Faut les comprendre, Edward Norton est tellement beau gosse, ils n'ont pas pu résister...

Vous voulez vraiment qu'on commente celle-ci ?

"Merde, je crois que j'ai encore chié dans mon futal, tu peux aller me chercher du PQ s'il te plaît ?"

Vous êtes sûrs que c'est lui, le fils de Tommy Vercetti ?

Aucun doute, voilà son père. On préférait encore Carl Johnson...

"Qui a allumé la lumière ? Moi qui commençais juste à m'endormir..."


Le nuage de Tchernobyl ne s'est pas arrêté à la frontière française, sinon ce type n'aurait pas la main plus grosse que la tête !

Miallah akhbar !!!

Sur le 187, on trouve aussi des beaufs blancs. Un bel exemple de diversité : ils cohabitent avec des racailles et des minets fashions, tous unis par leur passion beaufesque pour des tas de ferraille tunés.

Exercice : essayez de deviner le sexe de la personne de gauche. C'est pas si facile.


Cette photo est collector : on y voit une bagnole de beauf, un salon de beaufs, un blanc se prenant pour un renoi du Bronx ET un beauf-gay-skin qui lui tient la main !

Le même golio, à côté de la même bagnole. Assurément, poser près de ce tas de ferraille est un privilège sans nom. Dommage qu'il ne soit à lui que le temps d'une photo. Quand il était petit, il faisait ça avec les faux Père Noël des centres commerciaux, maintenant c'est les bagnoles de salon, car il n'a pas grandi.

Photo prise à l'étranger. C'était bien la peine de voyager aussi loin pour y ramener le même look de nazebroque qu'on trimballe chez soi.


UN PTIT BISOU !!!!

Fais gaffe, c'est dangereux l'airsoft sans protection...

Vu les yeux qu'il a, on espère que tout ce fric lui servira à acheter une cure de désintox plutôt qu'une nouvelle dose.

A gauche, avant l'opération. A droite, après.
C'était plus réussi pour Ségolène ! A croire que lui est un cas désespéré... Vu sa tronche d'origine, ça se comprend, notez.

C'est dur d'avoir tellement peu de personnalité qu'on va jusqu'à payer un photographe pour se faire tirer le portrait devant une bagnole de location.

Toi aussi, viens dépenser ton fric au Club Med, tu y rencontreras le fils du beauf à Cabu !

Il voulait devenir le prochain Guignol du jardin du Luxembourg, mais on l'a refoulé à l'entretien d'embauche, alors il se rattrape en faisant du mime avec ses doigts. On s'amuse comme on peut...

Comme quoi les décorations moches attirent les gens moches.

Non, il ne s'agit pas de boeufs aux hormones, mais de beaufs touristes venus passer leur été sur la Côte d'Azur. Ils ont l'air constipés, mais en fait, ils ont chopé une intoxication alimentaire à force de bouffer du kébab et s'efforcent de ne pas chier dans leur froc. Allez, courage !

Kémi Seba a un frère caché sur le 187 !

Quand des bouseux du 44 se croient dans GTA...

Chez les beaufs, les femmes sont comme les bagnoles : on s'en sert pour montrer sa virilité. Celle-ci n'a pas l'air d'apprécier ?

C'est ce qu'on appelle se faire owned.

Comment peut-on se payer un chichon, un cuir pas trop pourrave et une CDthèque, tout ça avec le RMI pour seul revenu officiel ? Ca sent bon le trafic de drogue... Et après, on ose dire que Sarko passe trop de Kärcher...


PUTAIN J'AI UN TATOO !!!! CHUIS UN OUF MALADE !!!!! REGARDEZ MOIIIIIIIIIIIIII !!!

Morts pour rien ? Non, nous ne sommes pas d'accord. Au moins, la disparition de ces deux-là aura permis à d'autres gayhetto-boys de fabriquer des banderoles chiasseuses comme celle-ci.

Waouh, une fausse montre et une bouteille de mauvais alcool, plus une bonne tête de winner, ça va sûrement faire chavirer un tas de coeurs chez les jeunes pucelles du Nnet !

C'est Grand-Maman qui a cousu la casquette à partir d'un vieux morceau de rideau qui lui restait.

L'abus d'alcool fait des ravages dans les familles de beaufs.